TENCH (Captain Watkin). Voyage à La Baie Botanique
LA RENCONTRE AVEC LA PÉROUSE À PORT JACKSON
TENCH (Captain Watkin).
Voyage à La Baie Botanique [Port Jackson futur Sydney] ; Avec une Description du nouveau Pays de Galles Méridional, de ses habitans, de ses productions, &c. & quelques détails relatifs à M. de la Peyrouse, pendant son séjour à la Baie Botanique. A laquelle on a ajouté le récit historique de la Découverte de la nouvelle Hollande, & des différens Voyages qui y ont été faits par les Européens. [Traducteur non cité].
A Paris, Chez Letellier, Libraire, 1789.
In-8° ; VIII-266 pp.
Un plein veau marbré, dos lisse joliment orné, fleurons or [vasques], filets or, palette or, filets or guillochés sur les coupes, pièce de titre en maroquin vert, tranches jaunes mouchetées bleu, ex-dono frappé or sur le premier plat, une reliure de l’époque, UN TRÈS BEL EXEMPLAIRE D'UNE GRANDE FRAÎCHEUR.
EX-DONO DE LA CÉLÈBRE PENSION « DUBOIS ET LOISEAU », DIRECTEURS DE L'INSTITUTION, SITUÉE DANS LE FAUBOURG SAINT-GERMAIN.
Ce livre a été offert à un élève méritant.
2 000 €
BIBLIOGRAPHIE
ÉDITION ORIGINALE de la traduction française.
Le titre de la traduction française fait référence à La Pérouse, a contrario, des éditions anglaises ou autres traductions de l'époque.
– Coxe, t. II, p. 315. – Crittenden, A Bibliography of the First Fleet, n° 227, p. 123. – Davidson, A Book Collector’s Notes, p. 75. – Du Rietz, Bibliotheca Polynesiana, 1280. – Ferguson, p. 26. Hill, Collection of Pacific, 1686.
Le journal de voyage de Watkin Tench fait partie des cinq récits d’officiers de marine les plus fréquemment cités par l’historiographie australienne pour témoigner de l’événement fondateur de l’Australie contemporaine : l’expédition dite de la First Fleet convoya, en 1787, les premiers convicts vers ce territoire des antipodes pour y fonder une colonie pénale (…) Pendant deux ans et demi, entre janvier 1788 et juin 1790, ces derniers vont être complètement coupés du monde extérieur, sans nouvelles de l’Europe, vivant dans l’attente affamée d’un ravitaillement promis et dans la crainte que l’Angleterre ne les ait finalement abandonnés ou oubliés.